RETRODEZCAN

Este imperativo es del todo incorrecto pero me resulta más contundente que el original RETROCEDAN. Por lo tanto, si la Real Academia de la Lengua Española me lo permite, desde hoy en adelante haré uso exclusivo de él.
Con RETRODEZCAN pretendo dar a conocer parte de mi obra pictórica, escultórica, fotográfica y, en menor proporción, literaria y, a la vez, mantener una corriente de opinión sobre los acontecimientos de naturaleza artística de hoy día.
Espero que tomeis la sabia decisión de manteneros a una distancia prudencial de mis opiniones aquí vertidas que no siempre tienen por que ser del agrado de la mayoría; ¿o, sí?

domingo, 28 de septiembre de 2008

PELÍCULA para la T.V. francesa. final


BERNARD FRESSON con una cerveza POLAR encima de la mesa antes de comenzarse a rodar el plano.



BERNARD FRESSON. Aquí le vemos de nuevo con una cerveza POLAR junto a otro de los actores de la película
.

AYUDANTE DE DIRECCIÓN. Persona sumamente simpática que en todo momento nos falicitó ayuda.

ANTONIO SERRANO y un actor secundario poco antes de comenzar la toma de un plano. Antonio era a la sazón el otro componente del duo de música folklórica latinoamericana que formábamos


Ni que decir tiene que ante tan tentadora oferta no perdí oportunidad de llevar a cabo la misión que se me había encomendado. A los pocos días de tal ofrecimiento, conseguí nutrir a la POLAR de un gran número de fotografías en las que se advertía claramente el consumo de cerveza por parte de todos y cada uno de los componentes que consiguen llevar a cabo una película de estas características: desde el director hasta el más alejado de los figurantes.
Incluso, minutos antes de algunas tomas, algunos actores, como el caso de Bernard Fresson, no parecían dispuestos a comenzar si antes no apuraban unos tragos de cerveza fresca.
La POLAR quedó francamente satisfecha y yo conseguí un dinero extra con el que pude paliar algunas pequeñas deudas contraidas.

Según informaciones adicionales facilitadas por ANTONIO PEDRO DORTA, este largo metraje consistió en una serie de 13 episodios rodados por ORTF y cuyo título fue "JO GAILLARD".
Solo uno o parte de él fue rodado en Tenerife.

4 comentarios:

  1. Christian-Jaque


    Christian-Jaque (Christian Maudet) (September 4, 1904, Paris – July 8, 1994, Boulogne-Billancourt) was a noted French filmmaker. He was married to actress Martine Carol from 1954 to 1959.


    [edit] Filmography

    [edit] Director
    Singoalla (1949)
    If all the Guys in the World, Si tous les gars du monde (1955)
    Babette s'en va-t-en guerre (1959)
    La Legge è legge (1958)
    Fanfan la Tulipe (1952)
    Barbe-Bleue (1951) and German-language version Blaubart (1951)
    Les Disparus de Saint-Agil (1938)

    28 de septiembre de 2008 3:48
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    Blogger Antonio Dorta dijo...

    Christian-Jaque

    Nome: Christian Maudet

    Altri nomi: Christian-Jacque,
    Christian Jacque, Christian Jaque


    Data nascita: 4 Agosto 1904 (Leone), Parigi (Francia)
    Data morte: 8 Luglio 1994 (89 anni), Boulogne-Billancourt (Francia)


    Regista francese. Lavora come giornalista e si avvicina al cinema come scenografo e aiuto-regista (tra gli altri, di J. Duvivier). Gira il suo primo film, Le bidon d’or (Il bidone d’oro), nel 1932, rivelando una vena satirico-brillante che si manifesta ulteriormente nella farsa Le père Lampion (Padre Lampione, 1934), in Francesco I (1936) e in altre commedie gustose e levigate. Nel 1938 il suo cinema registra una svolta drammatica con Fiamme in Oriente, un film di imprevisto realismo plastico, decisamente influenzato da E. von Stroheim che vi recita una parte. Con I figli della strada (1939) mette in scena una ricognizione nel mondo dell’infanzia abbandonata dal tono malinconico e dolente. Ritornato alla commedia, dirige quasi tutti i film di Fernandel e, tra gli altri, Barbablù (1951), Fanfan la Tulipe (1952), Nanà (1954), Babette va alla guerra (1959), La francese e l’amore (1960), Il tulipano nero (1964), Le pistolere (1971).

    28 de septiembre de 2008 4:04
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    Blogger Antonio Dorta dijo...

    Bernard Fresson (27 May 1931- 20 October 2002) was a French cinema actor. He starred in over 160 films. Some of his notable roles include: Javert in the 1972 mini-series version of Les Misérables, Inspector Barthelmy in John Frankenheimer's French Connection II (1974), Scope in Roman Polanski's The Tenant (1976), Gilbert in Lover Boy (1978), and Francis in Garçon! (1983), for which he received a César nomination for Best Supporting Actor.

    28 de septiembre de 2008 4:04
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    Blogger Antonio Dorta dijo...

    Fue una serie de trece episodios en la cual uno de ellos o una parte se grabóa en Tenerife:

    El título de la serie: "Jo Gaillard".

    Nunca se pasó al castellano. Fue rodada por la ORTF

    http://www.filmy-dvd.cz/jo-gaillard

    http://www.yo-video.com/film-89032-jo+gaillard+(s%E9rie).html

    http://dvdtoile.com/Thread.php?9113



    J'aimais beaucoup Bernard Fresson, récemment disparu. Je l'avais remarqué pour la première fois dans Le Locataire de Polanski, où il jouait avec beaucoup de verve le collègue de bureau joyeusement odieux de Trelkovski.

    Et puis il y avait Jo Gaillard, la série télé d'aventures maritimes dont quelques épisodes se passaient près de chez moi, dans le golfe du Saint-Laurent. Je n'en ratais pas un épisode. J'étais ado, dans le temps, alors je ne sais pas ce que ça donnerait de le revoir aujourd'hui. N'empêche, j'ai un bon feeling. Ce dont je me souviens le mieux, à part bien sûr le sympathique Bernard Fresson dans le rôle-titre, c'est qu'il y avait un effort marqué, comparé à bien d'autres séries d'aventures, pour imaginer des péripéties qui restent dans le domaine du vraisemblable; en tout cas pour éviter ce rocambolesque excessif. Et puis plusieurs épisodes étaient signés Boileau-Narcejac, qui avant de réinventer le roman policier avaient - chacun de leur côté - tâté du roman maritime à la Georges Blond (mais sans avoir écrit dans Je suis partout, eux...).

    Bref, ça donnait envie de respirer l'air du grand large. Aujourd'hui je découvre, qui plus est, en lisant la fiche, que des vétérans comme Christian-Jaque et Bernard Borderie ont réalisé certains épisodes... Ca promet.

    Arca1943

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    De PM Jarriq, le 6 août 2004 à 08:51
    Sympa de faire un petit hommage à Fresson, qui fut un des grands seconds rôles du cinéma français des seventies, une "grande gueule" à l'Américaine (il tenait magnifiquement tête à Hackman dans "French connection 2"). Je m'en souviens tout particulièremet en militant dans "Z", en flic obtus dans "Adieu l'ami", en voyou dans "Max et les ferrailleurs" ou en chef irascible dans "Garçon". Il était de la trempe des Bozzuffi, des Bouise, etc. On n'en fait plus des comme ça ! C'était le quart-d'heure nostalgie...

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    De Arca1943, le 4 janvier 2005 à 04:07
    Note du film : 4/6
    Parlant de quart d'heure nostalgie, la fiche de Jo Gaillard vient d'atteindre le seuil glorieux des 500 visiteurs ! (Enfin, pas tout à fait : 498) !

    Imaginons une manifestation de 498 personnes dans une de vos villes de taille moyenne, disons Arles ou Clermont-Ferrand : ça ne ferait pas bouger les choses? Hum?

    Et comme nous parlions récemment du mal-aimé Yves Boisset, je crois me souvenir que Fresson tenait la vedette dans un de ses polars des années 60... Mais lequel?

    Arca

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    De Impétueux, le 4 janvier 2005 à 09:43
    Ce serait-y pas Un condé de notre ami commun Yves Boisset que vous cherchez ?

    Je n'ai pas beaucoup de mérite à retrouver ça ! IMDb m'a bien aidé !!

    Le film n'est pas sur la base DVD Toile ; la question se pose de savoir si nous faisons une démarche commune pour qu'il y soit ! Je vous laisse la main !

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    De lepit, le 13 juin 2005 à 21:54
    Môme en rentrant de l'école, je suivais avec passion les aventures de cet équipage de

    marine marchande. De la série, il ne me restait plus que le visage du commandant,

    Bernard Fresson - trop tôt décédé - et la dégaine comique de Patrick Préjean.

    Grâce à ce site, j'ai retrouvé le nom "Jo Gaillard" et quelques internautes qui n'ont

    pas oublié la série diffusée sur TF1 au milieu des années '70, aux alentours de midi

    je crois.... . Il me reste en tête un air et des bribes de paroles (surtout la fin)

    Quelqu'un connaît-il le texte complet qui précède ou encadre " ... si les marins n'ont

    pas de coeur, c'est qu'ils l'ont perdu dans la mer !"

    Merci d'avance.

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    De loran75, le 4 octobre 2005 à 18:48
    hello à tous les fans!! quelqu'un sait il ou se procurer le générique de jo gaillard???

    merci d'avance l.parey(nospam)@free.fr

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    De Arca1943, le 15 février 2006 à 02:22
    Note du film : 4/6
    Tout bien réfléchi - regardez les dates : j'y ai mis le temps ! - oui. Je viens de lire sur DvdToile la biographie de Bernard Fresson par Christian Grenier et ça m'a donné le goût de revoir jouer ce sympathique acteur. Alors, va pour Un Condé. Pour une fois que c'est lui qui tient le rôle principal, il n'aurait pas sa fiche ? C'est vraiment trop injuste.

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    De Arca1943, le 15 février 2006 à 02:26
    Note du film : 4/6
    Mais zut alors, elle existe déjà, la fiche de Un Condé ! Et c'est Michel Bouquet, l'acteur principal. Je me souviens pourtant d'avoir vu un film policier... Ce n'est peut-être pas de Boisset, finalement... Voilà ! Ça s'appelait Sa Majesté le flic. Ça, c'est avec Fresson dans le rôle principal, j'en metterais ma main au feu. J'espère seulement que c'est pas trop mal...

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    De spinale90, le 23 juillet 2007 à 21:52
    bonsoir a tous , ou pourrait-on trouver la serie jo gaillard en magasin?le marie de ma marrainne était a bord de la marie-aude a cette époque.merci d'avance ,cordialement.


    http://www.imdb.com/title/tt0167625/fullcredits

    http://php88.free.fr/bdff/image_film.php?ID=2424

    http://php88.free.fr/bdff/act.php?ID=508

    http://coinducinephage.canalblog.com/archives/p42-12.html

    http://www.filmweb.pl/o64475/Christian-Jaque

    http://www.filmweb.pl/o4764/Bernard+Fresson

    28 de septiembre de 2008 4:34

    28 de septiembre de 2008 4:39

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  2. La Polar

    La empresa Polar es a Venezuela lo que McDonald´s a EEUU o el toro de Osborne al paísaje carpetovetónico de Hispania. Polar no sólo es una empresa de cerveza, si no que controla gran parte de la cadena de distribución de alimentos en Venezuela. Sus marcas de cerveza son Solera verde, Solera Light azul, Polar tercio (la clásica, con el logotipo del oso blanco y el esbelto diseño en vidrio marrón) y Polar Ice. Ya he contado que en Venezuela es más fácil encontrar cerveza fría que agua fría. Y que aquí, en medio de la calima caribeña, es difícil decir no a una cervecita bien fresca a precios socialistas, en casi cualquier momento.

    Pero si la añades a una arepa de pernil con queso amarillo o una reina pepiada (aguacate con pollo), el plato se convierte en delicioso. Por cierto, la reina pepiada es otro de los grandes símbolos areperos del país. De hecho, William Brownfield, antiguo embajador de EEUU en Caracas, se quejaba irónicamente hace unas semanas de que entre las críticas recibidas por su embajada se encontraba (además de intentos de magnicidio, encuentros con los paramilitares, ansiedad imperialista) la de comerse demasiadas arepas reina pepiada....

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  3. Ya hay más de 4000 fabricantes de cerveza artesanal

    Enviado el Domingo, 25 enero a las 09:16:54

    Tema: Economía

    El negocio crece hasta 20% cada año. Las firmas incrementaron su producción pero no dan abasto para satisfacer a los consumidores cada Yavez más experimentados. Nacen nuevas marcas en todo el país.

    La cerveza artesanal argentina gana cada día más adeptos y, en consecuencia, las microcervecerías están incrementando su producción y surgen nuevos emprendimientos en todo el país.

    La demanda es tan elevada que las empresas tuvieron que aumentar su producción entre un 10 y un 20 por ciento el año último y en muchos casos no logran abastecer a los compradores que se interesan por todas las variedades: rubias, negras, coloradas, estilo alemán, estilo danés, etc.

    La firma del Sur El Bolsón comenzó a fabricar en 1985 y desde entonces crece a un ritmo del 20% anual. En 2003, embotelló más de 200.000 litros y ya está presente en las principales ciudades del país.

    "Fuimos creciendo de a poco. Hace ocho años logramos llegar a Buenos Aires y ya vendemos en botellas y en barriles. El negocio fue creciendo para todos y hoy debe haber más de 4000 productores en el país", comentó Juan Carlos Bahlaj, dueño de la compañía.

    Para Bahlaj, el aumento en el consumo es consecuencia de una mayor educación del consumidor, que tiene la posibilidad de acceder a nueva información y conocer los procesos de elaboración y las diferencias entre la producción industrial y la artesanal.

    Cerveza Antares, otra de las firmas con mayor presencia nacional, que se produce en Mar del Plata, duplicó su producción mensual desde su fundación, en 1998. Hoy elabora más de 8000 litros al mes, que comercializa en un restaurante propio, Brewpub, y en los principales bares de Buenos Aires, Bariloche, Córdoba y la costa atlántica.

    El sabor ante todo

    El crecimiento de la empresa motivó a sus fundadores a abrir, este año, un local de Brewpub en Buenos Aires, y Pablo Rodríguez, socio fundador de Cerveza Antares, consideró que "se está dando un fenómeno similar al del vino. Antes los consumidores no se preocupaban por el tipo de vino que tomaban y lentamente fueron reconociendo las variedades y los cortes".

    "Se trata de una evolución de la cultura cervecera. Lo que contribuyó a esto fue la presencia de las importadas, que ampliaron la oferta. Ahora que no hay tantas por la diferencia del tipo de cambio las nacionales tienen la oportunidad de tomar de alguna forma su lugar", destacó Rodríguez.

    En Llavallol, provincia de Buenos Aires, nació en 2001 la microcervecería Danskeren. Su dueño, Oscar Christiansen, cuenta que la empresa empezó vendiendo 50 litros por mes y hoy comercializa más de 300. La firma es embotelladora y distribuye en restaurantes como el Club Sueco y Olsen.

    "Se está dando una moda como se dio también en el caso de los restaurantes gourmet que aparecieron. Hay un furor y hay muchos que se van quedando en el camino. Pero la cerveza artesanal llegó para quedarse como en todo el mundo", vaticinó Christiansen.

    Alejandro Assadourian produce cerveza artesanal en Villa General Belgrano, Córdoba, desde 1999. Su firma, Viejo Munich, aumentó 100% su producción desde su creación y el año último la elevó un 10 por ciento.

    "Producimos entre 2500 y 3000 litros por mes. Parte la destinamos al restaurante y parte la embotellamos para vender como souvenir a los visitantes, pero no damos abasto para vender en otras provincias", destacó el empresario.

    En la Capital Federal el furor de la cerveza artesanal puede verse en los pubs porteños especializados, que suelen tener los tanques de almacenamiento a la vista, como Dalinger y Buller Pub. Este último abrió su primer local en Recoleta en 1999 y este año sumará otro.

    "Estamos creciendo un 15% por año. Nuestra producción inicial era de 4500 litros por mes y hoy ya estamos en los 8000 litros. La demanda es muy elevada y no nos permite embotellar, pero ésa no es la parte del negocio que nos interesa", explicó Hernán Bellora, socio fundador del pub. "La devaluación -continuó- hizo que muchas marcas extranjeras desaparecieran y que el consumidor se animara a probar lo nacional. Y ahora no la cambian. El crecimiento es constante."

    Dalinger, ubicado en Gorriti 5801, abrió hace nueve meses y desde entonces registra un crecimiento del 10% mensual.

    "Estamos entrando en el mercado. Arrancamos produciendo 200 litros por mes y hoy estamos en los 900 litros. La idea es consolidar el bar y luego abrir una pequeña planta para embotellar y exportar", destacó Claudio Dalinger, dueño del local.

    "Notamos que una vez que el público la prueba y le gusta, se hace un fiel consumidor", añadió.

    Desde las empresas señalan que los precios, la cerveza artesanal y la industrial no son muy diferentes en los pubs. Allí, un chopp de cerveza artesanal puede conseguirse desde $ 3,50, suma similar a la industrial, aunque cuando se trata de un litro, los precios de la artesanal ascienden a 10 pesos.

    Igualmente, para los productores el consumidor está dispuesto a pagar más a cambio del sabor y en lo que respecta al perfil de los compradores afirman que se trata de gente conocedora y ávida de nuevos sabores cuyas edades varían en el amplio rango de los 18 y los 80 años.

    También en el Sur

    El fenómeno se ha propagado de tal manera que ya es posible conseguir cerveza artesanal argentina en la ciudad más austral del planeta: Ushuaia. Allí, se instalaron dos microcervecerías en diciembre último: Kuar y Cervecería y Maltería Sur Patagónica. La primera explota el negocio por medio de un restaurante. Gonzalo Carreau, socio de la firma, señala que uno de los motivos que lo llevaron a instalar la empresa fue el turismo.

    "Los visitantes tienen una gran cultura cervecera y aprecian la cerveza artesanal", destacó Carreau, que señaló que en un mes la compañía comercializó 1200 litros.

    Cervecería y Maltería Sur Patagónica, que produce la marca Irízar, comenzó a operar el 26 de diciembre último focalizando el negocio en la venta de cerveza embotellada a distribuidores.

    "Lo que nos motivó a empezar fue el crecimiento que vimos en el negocio. Hoy estamos vendiendo en Tierra del Fuego y queremos llegar a Buenos Aires", destacó Alberto Cichero, socio fundador de la empresa.


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    La apuesta por los negocios artesanales

    Cerveza Kunstman

    Fuente: INVERTIA

    Esta empresa tiene sus orígenes en el año 1991 cuando Armin Kunstman , hoy presidente ejecutivo de la empresa, se instala con un taller a un costado de su casa a producir cerveza artesanalmente, cosa que ya venía haciendo por años como hobby en su cocina. Su idea fue comenzar a producir para el consumo local y cuando la demanda comenzó a crecer se vio en la necesidad de dejar su puesto de gerente de Collico para dedicarse a tiempo completo en esta nueva empresa. "Siempre pensé que esto podía crecer pero nunca que alcanzaría las dimensiones actuales" afirmó el profesional.

    El año 1997 cuando trabajaba a full time en esta empresa y ya no era capaz de satisfacer la demanda desde el garage de su casa formó una Sociedad Anónima junto a su padre y dos tíos, la que aportó dos millones de dólares, con el capital reunido construyó la planta industrial en la cual actualmente se encuentran operando.

    Armin Kunstman define su empresa como "una microcervecera de carácter familiar que produce cervezas de tipo premiun especiales, si bien la producción es industrial, estamos muy lejos de las plantas grandes de las otras empresas".

    Hoy la distribución y venta de la cerveza es en gran parte del territorio, "nos la hace CCU con quien somos socios desde el 2001, en la parte centro-norte del país, la parte sur y las exportaciones las hacemos directamente nosotros. Su producción anual es de 3 millones de litros.

    "El proceso de expansión fue siguiendo a la demanda, la que básicamente fue creciendo sola, nosotros no hicimos marketing masivo. Un elemento importante que nos ayudó fue el restauran, la tienda de souvenirs y todas la visitas que tenemos por estos conceptos", sostuvo.

    Tras ser consultado si tributariamente existía algún tipo de facilidades a empresas de carácter artesanal Kunstman afirmó que "como empresa artesanal trabajó en las mismas condiciones tributarias que funciona actualmente".

    Según su dueño la clave del éxito del producto es la preparación que se ciñe estrictamente a "una receta alemana de 1516 que habla que la cerveza hay que hacerla con cuatro ingredientes básicos: el agua, la cebada, el lúpulo y el fermento, sin usar ingredientes químicos".

    Sus ventas anuales ascienden a los 4 millones de dólares anuales y la infraestructura actual nos les permite aumentar su capacidad de producción, por eso que existen planes de expansión.


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    Cerveza. El presidente de Bavaria, Ricardo Obregón, habla de la expansión de la compañía en Latinoamérica

    “Vamos a estar entre los más grandes del mundo”

    Enero 25 de 2004

    “Expandirnos es la mejor forma de sobrevivir”, asegura Ricardo Obregón Trujillo, presidente de Bavaria.

    Elena Arismendy / El Pais

    “En esta región del mundo sólo van a quedar dos grupos cerveceros y queremos ser uno de ellos”, dice el ejecutivo. “La economía colombiana debe crecer más”. Además de construir la planta de Yumbo, este año se duplicará la producción de la planta de pulpa de fruta en Tuluá.

    Si algo debe tener claro el gerente de una compañía mo-derna es que aquello que los economistas llaman ley del mercado es, simplemente, una sofisticación de lo que los antiguos cazadores llamaban ‘ley de la selva’: sólo sobrevive el más fuerte.

    Ricardo Obregón Trujillo, el hombre que lleva las riendas del Grupo Empresarial Bavaria, ha hecho de ese principio uno de los faros de su gestión al frente de la segunda mayor compañía cervecera de Suramérica.

    Por eso defiende a capa y espada el acelerado proceso de expansión que Bavaria ha desarrollado en Latinoamérica durante el último año y medio, y que la llevó esta semana a realizar una nueva jugada: la compra del 49% de Ecsa, compañía embotelladora de Pepsi en Costa Rica.

    A juicio de Obregón Trujillo esta es la única estrategia capaz de garantizarle a Bavaria la supervivencia en una arena en la que cada vez habrá menos luchadores. De hecho, dice, en un futuro no muy lejano sólo quedarán dos grandes grupos cerveceros en toda Latinoamérica, “y nosotros planeamos ser uno de ellos”.

    El presidente de Bavaria, quien esta semana puso en marcha la construcción de una nueva planta cervecera en Yumbo, habló con El Pais.

    ¿A qué le apuesta Bavaria con esa política de adquisiciones en Latinoamérica?

    Queremos convertirnos en uno de los cinco grupos cerveceros más grandes del mundo.

    Eso significa, aparte de la cifra, que Bavaria sea una empresa menos vulnerable en el mercado. Además, esa sería la mayor garantía de supervivencia.

    Por eso hemos querido ampliarnos inicialmente en la región y nos hemos modernizado para ser ejemplo en los países donde tenemos presencia.

    ¿Se puede pensar que esa expansión ya terminó?

    Estamos en ese proceso, aunque nos satisface lo que tenemos ahora. Creemos que las adquisiciones que ha hecho la compañía han avanzado con paso firme y no vamos a parar hasta alcanzar una etapa de consolidación.

    ¿Qué le falta al Grupo Bavaria para estar entre las cerveceras más grandes del mundo?

    Muy poquito. Diría que el objetivo es crecer más rápidamente que nuestros cercanos competidores. El año pasado, por ejemplo, crecimos en Colombia 5,9%, que es una cifra difícil de alcanzar en otros mercados.

    Tenemos un gran potencial, no solamente demográfico, sino también porque el consumo per cápita en estos países es muy bajo, lo que nos permite creer que podemos crecer más rápido que la competencia.

    ¿Y en Latinoamérica hay suficiente mercado para tantos copmpetidores?

    Nosotros tenemos la teoría de que en Latinoamérica deben sobrevivir dos grupos cerveceros, porque eso es lo que se ha observado en otras regiones del mundo. Y nosotros le estamos apostando a ser uno de ellos.

    ¿La negociación de Costa Rica implica una mayor participación en el negocio de las gaseosas?

    El Grupo Empresarial Bavaria tiene presencia en Colombia, Perú, Ecuador, Panamá, Bolivia, Chile y Costa Rica, países en los que participa en diferentes mercados de bebidas.

    En ese proceso estamos. En Panamá, en Perú y en Bolivia tenemos una actividad fuerte, aunque también la tenemos en el segmento de los refrescos.

    En Colombia hemos querido seguir impulsando las categorías de agua, jugos y malta. En Panamá recientemente introducimos el Agua Brisa y próximamente vamos a incorporar los jugos; además, acabamos de lanzar una nueva marca de agua en Ecuador, que se llama Manantial. Consideramos que uno de los grandes patrimonios de Bavaria es el valor de las marcas, y en la medida en que las podamos llevar a otros lugares del mundo se harán más fuertes.

    ¿En Colombia el mercado ha repuntado?

    Desde hace dos años hemos cambiado la tendencia que venía presentándose en materia de niveles de consumo per cápita, los cuales cada vez eran más bajos. En 2001, por ejemplo, llegamos a un consumo per cápita de 29 litros de cerveza por año y ahora estamos en 35 litros.

    ¿La competencia de otros licores como los cocteles, el aguardiente y el whisky no le ha quitado mercado a Bavaria ?

    Seguramente algunas de esas categorías han crecido y otras han decrecido, pero lo cierto es que la de la cerveza ha aumentado. Sin embargo, creo que hay espacio para todos.

    ¿La construcción de la planta de Yumbo es el inicio de un proceso de expansión en el país?

    Este año nuestro primer objetivo se centra en consolidar todas las adquisiciones que hemos hecho, transferir las mejores prácticas y homologar proceso, eso es un trabajo arduo y largo.

    En la década de los noventa invertimos US$95 millones y esa inversión la hemos superado en los dos últimos años.

    En esta vigencia estamos haciendo una inversión de US$57 millones, que destinaremos a la construcción de la cervecera de Yumbo, al aumento de la producción en la planta de pulpa de fruta de Tuluá (que se duplicará) y el mejoramiento de las factorías de Bucaramanga, Cervunión, Aguila y Leona.

    Si queremos dar ejemplo como una multinacional eficiente, primero tenemos que ser muy eficientes en el país.

    “Perdimos siete años”

    El ritmo de crecimiento de la economía colombiana se estancó en los últimos siete años, dice Ricardo Obregón trujillo.

    ¿Los mayores impuestos que se empezaron a cobrar este año en Colombia no pueden afectar la expansión de Bavaria?

    Pienso que los colombianos han sido conscientes de que el país ha atravesado por innumerables dificultades y pacientemente hemos aceptado las reformas, aunque no es lo que uno añora.

    ¿No le preocupa que se evecine otra reforma tributaria?

    No me atrevería a juzgarla hasta que se conozca su planteamiento, pero lo que se ha comentado es que se implementaría un estatuto tributario que definiría unas reglas de juego más claras, que se traduciría en el comienzo de una estabilidad fiscal.

    ¿Que le preocupa de la evolución económica del país?

    Nosotros hemos perdido siete años de nuestra historia, mientras que muchos otros países — que son competidores nuestros — han crecido.

    Creo que Colombia debe retomar la senda de crecimiento que tuvimos en la década de los 80, con niveles superiores al 5%, porque esa es la única forma para descontar la ventaja que nos han tomado otros países.

    Colombia debe esforzarse por mejorar su calificación ante las agencias internacionales, y para ello deberá reportar un crecimiento importante. En tal sentido tendrá que recurrir a fondos externos para tratar de lograrlo, porque el ahorro interno es insuficiente para que el país se desarrolle .


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    COLOMBIA - CREDITOS

    Bavaria recibe nuevo crédito de 150 millones de la CAF y ABM AMRO

    Sábado, 31 de Enero de 2004, 12h57

    Fuente: EFE

    Bogotá, 31 ene (EFECOM).- El Grupo Empresarial colombiano Bavaria (GEB) anunció hoy el cierre de un crédito por 150 millones de dólares con la Corporación Andina de Fomento (CAF) y el ABM AMRO, que invertirá la cervecera en Colombia, Perú, Ecuador y Panamá.

    El crédito fue estructurado bajo el Programa de Préstamos A/B de la CAF, en él que la corporación participa con el 25 por ciento, 37,5 millones de dólares, y un grupo de bancos liderados por el ABM AMRO el otro 75 por ciento, es decir los restantes 112,5 millones.

    La deuda se pagará en siete plazos semestrales, a partir de enero de 2006, señaló la compañía en un comunicado.

    Es la segunda operación de ese tipo de que realiza la CAF con el GEB.

    En la primera la corporación prestó a esa compañía 250 millones de dólares, con la participación de varios bancos internacionales, de los cuales adeuda aún 100 millones.

    El vicepresidente financiero de la empresa, Mauricio Restrepo, señaló que "la financiación mejora nuestra estructura de capital, ampliando nuestra capacidad de endeudamiento promedio" y refleja la confianza de la CAF, y de un grupo de bancos liderados por el ABN AMRO en la empresa y en el programa de inversión en la región andina.

    Bavaria es la mayor compañía de cerveza en Colombia y la segunda productora de esa bebida en América del Sur, con inversiones mayoritarias en la principales cerveceras de Perú, Ecuador, y Panamá. EFECOM amv/bg/--


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    La Constancia lanzó una nueva marca de cerveza para el mercado en el 2003

    Economia/Negocios

    Venta de cerveza crece 3 por ciento

    La venta de cerveza en El Salvador y Honduras creció en el 2003, según cifras de Sab-Miller.

    09:00 AM CST 26 Jan 2004 (15:00 GMT)

    San Salvador

    Redacción Economía

    os cambios que se dieron el año pasado en el ámbito cervecero nacional, surtieron efecto; las ventas de cerveza en El Salvador y Honduras crecieron 3 por ciento hasta el 31 de diciembre del 2003, según los estados financieros de SAB- Miller .

    South African Breweries ,SABMiller , es la propietaria del 65 por ciento de Industria La Constancia y del 98 por Ciento de Cervecería Hondureña, desde noviembre de 2001. La cervecera sudafricana r presenta sus estados financieros cada trimestre, y su año fiscal lo cierra cada marzo, por lo que las cifras se refieren a las ventas de abril a diciembre del 2003.

    Los cambios del 2003

    El 2003 fue un año de cambios para la cerveza salvadoreña. La Constancia, lanzó al mercado una nueva marca, Bahía con la cual espera conquistar a un mercado más joven; además, renovó sus marcas, como Golden Light, la cual se transformó con una imagen más fresca; mientras la marca insignia, Pilsener , cambio de “ look ” y de tamaño; la tradicional Regia no se quedó atrás, ahora luce una nueva botella y una imagen más moderna.

    La Constancia, que es la única productora de cerveza en el país, invirtió 10 millones de dólares para mejorar su planta, en fin la apuesta de la industria fue la cerveza.

    Según publica SABMiller en su página web, ellos siguen trabajando “en la estimulación del crecimiento en el consumo de cerveza”.

    Competencia cerca

    Mientras del otro lado de la frontera, (en Guatemala) Cervecería Río, se prepara para hacer este año su ingreso a El Salvador. El 20 de enero anunció una inversión de 10 millones de dólares, para ampliar su planta, y se alista para llevar su marca, Brahva , en primer lugar a Nicaragua, para traerla a El Salvador, en el segundo semestre del año. Río, nació de una alianza entre la embotelladora ancla de la gaseosa Pepsi para la región CABCORP y la cuarta cervecera a nivel mundial, la brasileña AMBEV.

    Sodas no despegan

    Mientras las ventas de cerveza crecen las bebidas carbonatas o gaseosas van en leve declive. Las ventas disminuyeron hasta el 31 de diciembre del 2003 un 4 por ciento.

    En informes anteriores SABMiller había indicado que la competencia en el mercado era muy fuerte. Diario El Mundo quiso obtener reacción de la Constancia pero fue imposible.

    Cambios en mercado C.A.

    El mercado cervecero no se queda quieto, y últimamente la región ha estado muy cotizada por las transnacionales. La última transacción se dio la semana pasada en Costa Rica, cuando la colombiana Bavaria , compró el 49 por ciento de la Embotelladora Centroamericana ECSA.

    Bavaria , la cuarta cervecera de América Latina y compañía matriz del Grupo Empresarial del mismo nombre que controla los mercados cerveceros de Panamá, Perú, Ecuador y Colombia.

    ECSA estaba siendo disputada también por la brasileña AMBEV, que se ha propuesta entrar de lleno a la región, donde están presentes los grandes como Heineken (Costa Rica, Panamá y Nicaragua) y SabMiller (El Salvador y Honduras).


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    Aumenta Modelo precios

    Grupo Modelo tiene en México el 57 por ciento del mercado nacional en la venta de cerveza

    Por Gabriel Suárez

    Mural

    Guadalajara (27 enero 2004).- Grupo Modelo subió entre un 4 y 6 por ciento los precios de sus cervezas, según la marca, la presentación y las zonas geográficas del país.

    En Guadalajara, el incremento en el precio alcanzó a todas las marcas y presentaciones que la Cervecería Corona fabrica y distribuye en la zona metropolitana.

    Por vez primera, el precio de la cerveza Pacífico que se elabora en Sinaloa y se distribuye en Jalisco tiene el mismo precio al público que tienen las cervezas Corona y Estrella que se fabrican aquí.

    Todavía el año pasado el cartón de 20 cervezas de Corona o de Estrella costaba 93 pesos, mientras que el de Pacífico costaba 95 pesos, ahora cualquier cartón de cerveza mediana cuesta 99 pesos a negocios establecidos.

    José Parés, director de comunicación de la compañía, indicó que este incremento responde a un ajuste de precios de acuerdo a los niveles inflacionarios que mostró la economía mexicana el pasado año.

    Sin embargo, el incremento en el precio de la cerveza señalado para la zona metropolitana de Guadalajara fue por mucho mayor al de la inflación en el país.

    De acuerdo con cifras del Banco Central, al cierre del 2003 la inflación en México fue de 3.96 por ciento; sin embargo, al incremento en la caja de 24 cervezas de Modelo de bote 5.95 por ciento y de cerveza tamaño Familiar de 5.47 por ciento.

    Estos nuevos precios vienen luego de dos años en que la compañía no realizó incrementos y mantuvo sus mismos precios.

    Parés aseguró que el incremento haya sido generalizado en todo el país y explicó que se ajustaron según las propias necesidades comerciales en cada región.

    Cabe destacar que el alza en los precios es a la venta hacia negocios establecidos, y son éstos quienes fijan de manera unilateral el precio al menudeo.

    Un cartón de 12 cervezas familiares pasó de 146 pesos a 154 pesos; de Negra Modelo de 79 pesos a 84 pesos, y de Modelo de bote de 168 a 178 pesos, la caja de 24 cervezas.

    Grupo Modelo tiene en México el 57 por ciento del mercado nacional en la venta de cerveza.

    Por su parte, la Cervecería Cuauhtémoc Moctezuma mantiene en el inicio del presente año los mismos precios de venta por tercer año consecutivo.

    El cartón de 20 cervezas medianas, ya sean de la marca Sol o Indio, cuesta 94 pesos a los negocios establecidos.


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    EMPRESAS

    FEMSA ANALIZA AUMENTAR PRECIOS DE CERVEZA

    Viernes, 23 de Enero de 2004, 16h41

    Fuente: Reuters Investor

    MEXICO DF, ene 23 (Reuters) - La mexicana Fomento Económico Mexicana (Femsa) dijo el viernes que analiza aumentar los precios de su cerveza en México, mientras que espera una mejora de la economía, casi estancada en los tres últimos años.

    Una fuente de Femsa, la segunda productora de cerveza en México, atrás de Grupo Modelo, dijo que la decisión de aumentar los precios de sus marcas, que incluyen las populares Dos Equis y Tecate, se tomará después de analizar diferentes variables, entre ellas el desempeño de la economía.

    "Como se espera una mejora económica en el 2004 esto podría ayudar para que se pueda precisar mejor cuándo y cuánto" se aumentarían los precios, dijo la fuente a Reuters, que solicitó el anonimato.

    Estamos "permanentemente monitoreando cómo va el desempeño de la economía en las áreas geográficas y el desempeño del mercado", agregó.

    Las ventas de Cervecería Cuauhtémoc-Moctezuma, operada por la unidad de Femsa, Femsa Cerveza, crecieron 0.7 por ciento de enero a septiembre del 2003 a 16,121 millones de pesos.

    Femsa y Modelo vendieron en el 2002 unos 50 millones de hectolitros de cerveza, en un país que es el séptimo mercado mundial en ese segmento.

    En medio de un estancamiento económico que ha durado casi tres años y de altas tasas de desempleo, las cerveceras han visto limitados crecimientos en sus volúmenes de ventas.

    Según estimaciones de analistas, las ventas de cerveza habrían crecido menos de 3 por ciento en el 2003 y las firmas han tenido que congelar sus precios durante dos años, mientras que sus costos de operación han subido, y caído sus utilidades.

    El congelamiento de precios es lo que ha permitido tanto a Modelo como Femsa registrar modestos aumentos en sus ventas, según especialistas.


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    Modelo subiría volúmenes ventas 2-3% en 2004

    Modelo, el mayor grupo cervecero de México, prevé un crecimiento de 2 a 3 por ciento en sus volúmenes de ventas locales en el 2004, en línea con la esperada expansión de la economía mexicana, dijo el jueves Credit Suisse First Boston (CSFB).

    "Modelo dio una estimación de 2-3 por ciento para el crecimiento de sus volúmenes en el 2004, en línea con (el crecimiento esperado) del Producto Interno Bruto (PIB)" para el 2004, dijo CSFB en un reporte después de una reunión con el director de Finanzas de Modelo, Ernesto Alcaide.

    En medio de un estancamiento económico que ha durado casi tres años y de altas tasas de desempleo, las cerveceras del país han visto limitados crecimientos en sus volúmenes de ventas.

    El gobierno mexicano espera que el PIB se expanda 3.1 por ciento en el 2004, frente al 1.2 por ciento habría crecido en el 2003, de la mano de una recuperación de la economía de Estados Unidos.

    Una economía más sana en Estados Unidos, que compra 85 por ciento de las exportaciones mexicanas, significa que remolcará a las industrias de México, apuntalando el empleo y el consumo.

    CSFB dijo que este año Modelo invertiría 350 millones de dólares (capex) para ampliar una planta que aumentará en el 2005 en 9 millones de hectolitros (hl) la actual capacidad de producción de la firma, de 51 millones de hl.

    Según el reporte, Modelo mejoraría su rentabilidad, resultado de un incremento de precios en Estados Unidos y México vigente desde el 1 de enero y de mejoras en su sistema de distribución.

    Modelo, que exporta cinco marcas de cerveza a 150 países, congeló los precios de sus cervezas durante casi 24 meses, lo que le ha permitido mantener estables sus volúmenes de ventas.

    Las ventas de Modelo, 50 por ciento propiedad de la estadounidense Anheuser-Busch Co. Inc., de enero a septiembre del 2003 ascendieron a 29,585 millones de pesos, 7.8 por ciento más que en el mismo lapso del 2002.

    Las ventas de Modelo en el extranjero, de las cuales casi 90 por ciento son en Estados Unidos, representan cerca de 30 por ciento de los ingresos de la cervecera. (Reuters)


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    Crecen las minicervecerías en Perú, a pocos meses de gran batalla cervecera

    12:46 P.M., 29 Enero 2004

    LIMA, Ene 29 (AFP) - A pocos meses de que se inicie la batalla por el mercado de la cerveza en Perú entre Backus y la poderosa brasileña AmBev, un grupo de empresarios, en forma silenciosa, está instalando minicervecerías, produciendo su propia cerveza de varios sabores, y ganando espacio.

    Los pequeños empresarios elaboran su cerveza en espacios reducidos y la venden directamente al consumidor a un precio bastante competitivo, alejados de la expectativa por la gran batalla de la espuma a iniciarse a mediados de este año cuando la planta de la AmBev esté concluida en Perú y produciendo cerveza.

    Según los expertos la batalla cervecera se dará en varios frentes, pero los precios y el sector consumo serán los más duros.

    Para ello AmBev -primera en Latinoamérica y quinta en el mundo- tiene trazada su estrategia de vender a menor precio. "No interesa perder al comienzo cuando al final ganas", dijo al AFP un responsable de la firma brasileña que pidió reserva de identidad.

    Con un precio más bajo el objetivo es ganar los niveles económicos medios y bajos, donde la Backus, cuyo mayor accionista es la colombiana Bavaria, es líder en el mercado peruano con sus marcas Cristal, Pilsen Callao y Cusqueña, agregó.

    Además, la otra estrategia de AmBev apunta a elevar el consumo de cerveza en Perú, que con 22 litros por habitante en el año 2003, es uno de los más bajos de la región. En el 2002 fue de 21,9 litros y en el 2001 alcanzó los 19,7 litros per cápita.

    En Venezuela cada ciudadano consume 70 litros al año, Colombia 55 litros, Brasil, México y Argentina alcanzan los 40 litros, Chile llega a los 25 litros, según datos de la Unión Cevercera Peruana Backus.

    En medio de estos planes y una millonaria inversión en publicidad, comienzan a crecer en forma silenciosa las minicervercería tratando de ganar espacios con buenos precios y cerveza de diferentes sabores que las poderosas no pueden ofrecer.

    "Un industrial no hace cerveza que más le gusta, sino la de mayor rentabilidad mientras el productor microcervecero elabora su producto para disfrutarla, para ser apreciada por sus clientes", dijo a la AFP el ingeniero Jorge Loo, que junto a su socio Darío Agama han creado el mercado de construcción de minicervecerías.

    De abril a diciembre del 2003 han instalado 15 plantas que producen cada una de 100 a 120 litros al día. Cada minifábrica cuesta 13.000 dólares, señaló Agama.

    Explicó que una industria cervecera gasta más del 50% del precio de la cerveza en publicidad, promoción y distribución, en cambio con una mini se economizan esos gastos y se vende directamente y a menor precio.

    La técnica de Loo permite al comprador instalar él mismo la miniplanta en pequeños espacios (cochera o jardines) como si fuera un rompecabezas.

    "Nosotros damos clases para que se puedan instalar sin mayor ayuda, se les explica cómo elaborar la cerveza de diferentes sabores", dijo el ingeniero tras indicar que una minifábrica adquirida en el extranjero, incluyendo el servicio de instalación, cuesta unos 100.000 dólares.

    El empresario Pedro Pérez, quien tiene una pequeña planta adquirida en el extranjero, encontró un tremendo negocio en ese campo. Llegó a un acuerdo con tres famosas cantantes populares que lideran el ránking del folclore peruano para poner sus fotos en las etiquetas de las botellas de cerveza.

    Este acuerdo le está dando enormes ganancias, pues las botellas de cerveza se venden a más de un dólar en los eventos donde acuden miles de fanáticos para escuchar a estas populares artistas.


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    MERCADOS / En 2003 se tomaron 1,5 millardos de litros

    Consumo nacional de cerveza es el más alto de la región

    En 2001 y 2002 el consumo fue de dos millardos anuales de litros

    Este año crecerá en 1,75 millardos de litros la ingesta de birras en el país

    EDUARDO CAMEL ANDERSON

    EL UNIVERSAL

    Cervecero casi por naturaleza, el venezolano mantiene el mayor consumo per cápita de Latinoamérica de esta espirituosa bebida: casi 70 litros anuales, en promedio, una posición ventajosa contra los menos de 50 litros que al año consumen los mexicanos o brasileños, quienes constituyen dos de los mercados de consumo más destacados de esta región.

    En Venezuela, durante 2001 y 2002, se consumieron unos dos millardos de litros en doce meses. Polar, líder de la parranda, tenía 65% de participación, seguida de Brahma, y Regional.

    Pero este mercado, como tantos otros, cayó el año pasado, a causa de un mes menos de ventas (el enero del paro) y la sostenida caída del poder adquisitivo venezolano. El consumo fue, al cierre de 2003, de unos 1,5 millardos de litros.

    Oro líquido

    Previsiones de voceros de Polar indican que este año el desempeño será ligeramente mejor. Aunque no se igualarán los registros de 2001 y 2002, en diciembre se habrá contabilizado unos 1,75 millardos de litros ingeridos.

    Se estima que la cerveza venezolana tiene el precio más competitivo entre los países de la región, razón por la cual sigue siendo de las bebidas más buscadas y, contrariamente a lo que muchos piensan, dominan 75% del mercado, porción de la cual 25% representan los productos light.

    Polar insistió ante El Universal que ha mantenido su participación prácticamente incólume en los últimos años, aunque introduciendo importantes variantes en su oferta, como la diversificación de la cartera de productos.

    El consumidor lugareño es positivo ante los cambios. Al venezolano le encanta una botella innovadora, una etiqueta bonita, las promociones y, además, todo lo que tiene que ver con el disfrute.

    De allí que las suaves, y su derivación light, hayan tomado pocos años para desbancar a las pilsen clásicas, que hoy en día se consumen, pero en muy baja medida.

    Y como el mercado fue evolucionando, ahora hay un segmento premium, el cual no tenía cerveza light. Es allí donde Polar puso el ojo, para lanzar la versión ligera de Solera, su producto estrella, en botella azul, etiqueta plateada y capuchón, algo así como una botellita de champaña azulada.

    Las light comenzaron en Venezuela en el año 97 para ese segmento joven suave, que buscaba un sabor menos amargo del ya conocido.

    ¡Salud!

    Con este lanzamiento, la marca busca atacar consumidores de los estratos a, b y c, hombres y mujeres, de 18 a 35 años, pero especialmente aquellos de 25 a 35 años, que se preocupan por su salud y que gustan de acceder a productos "aspiracionales".

    La botella se hizo azul por un motivo de estética. Es la única en la región que tiene ese color. ¿Cuál es la meta? Acaparar 24% de cervezas de empaque no retornables, segmento que a su vez representa 10% del mercado nacional (el resto son de gavera, que es 30% más barata en sus precios al detal).

    De las no retornables, 70% son botellas y el restante latas. Como suele hacerse con los lanzamientos, en una primera etapa el producto se estará mercadeando en la región capital y hacia la central.

    Para las primeras actividades, la compañía dirigió 40% del presupuesto de la marca. 5% de ese dinero se fueron al ajuste de producción en planta, 18% hacia los anuncios en medios y el resto a captar consumidores y ejercitar la fuerza de venta de la ocasión.

    ecamel@eluniversal.com


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    Estrategia y Negocios

    Polar adopta la franquicia en nuevo modelo de distribución

    Juan Ruiz, directivo de la cervecera, indicó que las 2.000 pequeñas empresas que hoy reparten los productos del Oso tendrán prioridad para convertirse en franquiciadas

    NORBERTO J. MÉNDEZ

    Foto WILLIAM DUMONT

    Ruiz: Es necesario evolucionar en la atención del cliente, sin sacrificar ninguna de las ventajas que hemos desarrollado

    La red de distribución de Cervecería Polar, que hasta el momento se mantenía con la figura de pequeñas empresas contratadas para tal fin y que atiende a 150 mil puntos, tomará el modelo de franquicia.

    Representantes de la compañía del Oso explicaron que en una primera etapa tendrán prioridad las 2.000 PYME que actualmente reparten las lupulosas.

    El modelo se denomina Red de Franquicias de Distribución Polar.

    Los franquiciados tienen el derecho de suplir con los productos de la cervecera los puntos de venta en áreas geográficas determinadas, además de tener acceso a las prácticas desarrolladas por Polar que optimicen la operación.

    Juan Ruiz, director de la Unidad Estratégica de Negocios de Cerveza y Malta, afirmó que se trata de un nuevo capítulo en la historia de la red de distribución de Polar, un elemento que “ha sido uno de los impulsores del éxito de la compañía”.

    El vocero explicó que la modificación responde a la evolución del mercado nacional en los últimos tres años. En el caso de los consumidores destacó la importancia que han ganado las cervezas suaves y que se refleja en que hoy 75% de las espumosas se envasa en botellas transparentes. Asimismo, se requiere una atención diferenciada según el tipo de cliente.

    “Es necesario evolucionar en la atención del cliente, sin sacrificar ninguna de las ventajas que hemos desarrollado. Por eso hemos diseñado este modelo”, indicó Ruiz.

    Si bien el grueso de la distribución se realizará mediante el sistema franquiciado, la compañía mantendrá la atención directa para clientes específicos.

    Consultado si la decisión de otorgar franquicias para la distribución está relacionada con los problemas legales que se suscitaron entre Polar y un grupo de ex distribuidoras, Ruiz explicó que “eso fue un inspirador para ofrecer a las compañías este modelo de distribución”.

    Figura en auge

    La franquicia, y la apuesta de Cervecería Polar lo corrobora, es una de las actividades comerciales más en boga en la actualidad.

    Cifras reveladas en la rueda de prensa refieren que en Venezuela producen más de 240.000 puestos de trabajo y que existen 1.800 unidades operando, lo que genera 0,5% del producto interno bruto no petrolero.

    Rolando Seijas, ex presidente de Profranquicias y asesor de Polar en este tema, expuso que las características del negocio de la cervecera –una marca reconocida, la estandarización de los secretos comerciales y la posibilidad de repetirse– hicieron posible la conversión en una franquicia de distribución, modalidad que tiene precedentes en Francia y en México.

    “Se han logrado estándares internacionales, es muy pensada y adaptada a los intereses de los consumidores”, dijo.

    María Isabel Guinand, directora nacional de Ventas y Distribución de Polar, expresó que se trabajará con el concepto de exclusividad recíproca, es decir, la franquiciante cederá el derecho para vender en un área específica y el franquiciado se compromete a distribuir sólo productos de la Polar.

    También se garantiza una rentabilidad atractiva para los franquiciados –se calcula en 18 meses el retorno de la inversión–, el acceso a financiamiento para operar el negocio y asistencia a programas de formación de las técnicas comerciales desarrolladas por Polar.

    El precio de entrada para el negocio varía según las características de la ruta asignada, pero tiene un promedio de 16 millones de bolívares. El interesado debe operar bajo la forma de compañía anónima o sociedad responsable limitada –no se admiten cooperativas u otras figuras–, contar con activos como un camión y tener debidamente registrados a sus empleados.

    Las pequeñas empresas que actualmente forman parte de la fuerza de distribución de Polar no tendrán que pagar montos adicionales.

    Los interesados recibirán un adiestramiento de seis meses.

    No sólo habrá estandarización de procesos de venta del producto sino también de imagen. Los camiones, uniformes, identificaciones y facturas de las franquiciadas podrán usar los logos de la Red de Distribución Polar.

    © 2004. CA Editora El Nacional.

    Todos Los Derechos Reservados


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    Identificado Gen que podría explicar la dependencia del alcohol

    Un grupo de investigadores de la Escuela de Medicina de la Universidad de Washington (St. Louis, U.S.A.) y de otros centros ha identificado un gen que parece incrementar el riesgo de alcoholismo.

    El estudio, publicado en la edición de enero de la revista “Alcoholism: Clinical and Experimental Research”, es el primero en demostrar una asociación entre este gen en particular y la dependencia del alcohol. Los investigadores analizaron el ADN de un total de 2.282 sujetos y aislaron tres genes del cromosoma 15 que se encuentran muy próximos en este cromosoma. Se encontró que uno de estos genes parece influir en el riesgo de dependencia del alcohol, pero no se sabe cómo.

    El hallazgo de que ese gen estaría involucrado en el abuso con el alcohol y la dependencia apoya la teoría actual de que la predisposición al alcoholismo podría ser heredada. Las personas en riesgo de alcoholismo pueden heredar una variedad de genes que contribuyan a esto.

    Una interpretación es que tal vez el alcohol normalice el estado de excitabilidad del cerebro y esto conduzca a personas con un sistema nervioso hiperexcitado a utilizar el alcohol más frecuentemente con el fin de normalizar los circuitos cerebrales, esto podría colocarlos en un nivel de riesgo mayor de desarrollar dependencia del alcohol.

    La Dra. Dick señala que es importante recalcar que el código genético no necesariamente significa que una persona está condenada a convertirse en alcohólico. Y, adicionalmente, que la dificultad de encontrar genes involucrados en los desórdenes psiquiátricos está en que existe interacción entre los factores genéticos y los ambientales.

    Dick DM, Edenberg HJ, Xuei X, Goate A, Kuperman S, Schuckit M, Crowe R, Smith TL, Porjexa B, Begleiter H, Foroud T. Association of GABRG3 with alcohol dependence. Alcoholism: Clinical & Experimental Research, vol. 28:1, pp. 2042-2047, January 2004

    Gerardo Tálamo, Ph. D.


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    Compran 21% de cervecera china

    HONG KONG, China (Reuters). —Heineken dijo el miércoles que su unidad de Asia tomará una participación de 21% en la cervecera china Guangdong Brewery Holdings, en una inversión calculada en 57 millones de euros (unos 71 millones de dólares).

    La participación de Heineken en la inversión es de 28.5 millones de euros y la transacción, que se realizará con recursos existentes en caja, aumentará las ganancias, comunicó la empresa.

    La inversión de Heineken Asia Pacific Breweries China es la más reciente de una oleada de acuerdos por parte de cerveceras extranjeras que buscan una porción del mercado de las cervezas de China, el mayor del mundo en volumen, con un crecimiento de alrededor del 5% por año.

    Heineken, tercera mayor cervecera del mundo, dijo recientemente que comenzará a hacer su marca de cerveza en China a través de Asia Pacific Breweries en Singapur, empresa donde tiene el 42.5% de participación, y que elabora la cerveza Tiger.

    Heineken y su socio en Asia Pacific Breweries formaron recientemente Heineken Asia Pacific Breweries China, una combinación donde la holandesa posee el 46.1% y Fraser & Neave tiene el 43.9%.

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  4. Ya hay más de 4000 fabricantes de cerveza artesanal

    Enviado el Domingo, 25 enero a las 09:16:54

    Tema: Economía

    El negocio crece hasta 20% cada año. Las firmas incrementaron su producción pero no dan abasto para satisfacer a los consumidores cada Yavez más experimentados. Nacen nuevas marcas en todo el país.

    La cerveza artesanal argentina gana cada día más adeptos y, en consecuencia, las microcervecerías están incrementando su producción y surgen nuevos emprendimientos en todo el país.

    La demanda es tan elevada que las empresas tuvieron que aumentar su producción entre un 10 y un 20 por ciento el año último y en muchos casos no logran abastecer a los compradores que se interesan por todas las variedades: rubias, negras, coloradas, estilo alemán, estilo danés, etc.

    La firma del Sur El Bolsón comenzó a fabricar en 1985 y desde entonces crece a un ritmo del 20% anual. En 2003, embotelló más de 200.000 litros y ya está presente en las principales ciudades del país.

    "Fuimos creciendo de a poco. Hace ocho años logramos llegar a Buenos Aires y ya vendemos en botellas y en barriles. El negocio fue creciendo para todos y hoy debe haber más de 4000 productores en el país", comentó Juan Carlos Bahlaj, dueño de la compañía.

    Para Bahlaj, el aumento en el consumo es consecuencia de una mayor educación del consumidor, que tiene la posibilidad de acceder a nueva información y conocer los procesos de elaboración y las diferencias entre la producción industrial y la artesanal.

    Cerveza Antares, otra de las firmas con mayor presencia nacional, que se produce en Mar del Plata, duplicó su producción mensual desde su fundación, en 1998. Hoy elabora más de 8000 litros al mes, que comercializa en un restaurante propio, Brewpub, y en los principales bares de Buenos Aires, Bariloche, Córdoba y la costa atlántica.

    El sabor ante todo

    El crecimiento de la empresa motivó a sus fundadores a abrir, este año, un local de Brewpub en Buenos Aires, y Pablo Rodríguez, socio fundador de Cerveza Antares, consideró que "se está dando un fenómeno similar al del vino. Antes los consumidores no se preocupaban por el tipo de vino que tomaban y lentamente fueron reconociendo las variedades y los cortes".

    "Se trata de una evolución de la cultura cervecera. Lo que contribuyó a esto fue la presencia de las importadas, que ampliaron la oferta. Ahora que no hay tantas por la diferencia del tipo de cambio las nacionales tienen la oportunidad de tomar de alguna forma su lugar", destacó Rodríguez.

    En Llavallol, provincia de Buenos Aires, nació en 2001 la microcervecería Danskeren. Su dueño, Oscar Christiansen, cuenta que la empresa empezó vendiendo 50 litros por mes y hoy comercializa más de 300. La firma es embotelladora y distribuye en restaurantes como el Club Sueco y Olsen.

    "Se está dando una moda como se dio también en el caso de los restaurantes gourmet que aparecieron. Hay un furor y hay muchos que se van quedando en el camino. Pero la cerveza artesanal llegó para quedarse como en todo el mundo", vaticinó Christiansen.

    Alejandro Assadourian produce cerveza artesanal en Villa General Belgrano, Córdoba, desde 1999. Su firma, Viejo Munich, aumentó 100% su producción desde su creación y el año último la elevó un 10 por ciento.

    "Producimos entre 2500 y 3000 litros por mes. Parte la destinamos al restaurante y parte la embotellamos para vender como souvenir a los visitantes, pero no damos abasto para vender en otras provincias", destacó el empresario.

    En la Capital Federal el furor de la cerveza artesanal puede verse en los pubs porteños especializados, que suelen tener los tanques de almacenamiento a la vista, como Dalinger y Buller Pub. Este último abrió su primer local en Recoleta en 1999 y este año sumará otro.

    "Estamos creciendo un 15% por año. Nuestra producción inicial era de 4500 litros por mes y hoy ya estamos en los 8000 litros. La demanda es muy elevada y no nos permite embotellar, pero ésa no es la parte del negocio que nos interesa", explicó Hernán Bellora, socio fundador del pub. "La devaluación -continuó- hizo que muchas marcas extranjeras desaparecieran y que el consumidor se animara a probar lo nacional. Y ahora no la cambian. El crecimiento es constante."

    Dalinger, ubicado en Gorriti 5801, abrió hace nueve meses y desde entonces registra un crecimiento del 10% mensual.

    "Estamos entrando en el mercado. Arrancamos produciendo 200 litros por mes y hoy estamos en los 900 litros. La idea es consolidar el bar y luego abrir una pequeña planta para embotellar y exportar", destacó Claudio Dalinger, dueño del local.

    "Notamos que una vez que el público la prueba y le gusta, se hace un fiel consumidor", añadió.

    Desde las empresas señalan que los precios, la cerveza artesanal y la industrial no son muy diferentes en los pubs. Allí, un chopp de cerveza artesanal puede conseguirse desde $ 3,50, suma similar a la industrial, aunque cuando se trata de un litro, los precios de la artesanal ascienden a 10 pesos.

    Igualmente, para los productores el consumidor está dispuesto a pagar más a cambio del sabor y en lo que respecta al perfil de los compradores afirman que se trata de gente conocedora y ávida de nuevos sabores cuyas edades varían en el amplio rango de los 18 y los 80 años.

    También en el Sur

    El fenómeno se ha propagado de tal manera que ya es posible conseguir cerveza artesanal argentina en la ciudad más austral del planeta: Ushuaia. Allí, se instalaron dos microcervecerías en diciembre último: Kuar y Cervecería y Maltería Sur Patagónica. La primera explota el negocio por medio de un restaurante. Gonzalo Carreau, socio de la firma, señala que uno de los motivos que lo llevaron a instalar la empresa fue el turismo.

    "Los visitantes tienen una gran cultura cervecera y aprecian la cerveza artesanal", destacó Carreau, que señaló que en un mes la compañía comercializó 1200 litros.

    Cervecería y Maltería Sur Patagónica, que produce la marca Irízar, comenzó a operar el 26 de diciembre último focalizando el negocio en la venta de cerveza embotellada a distribuidores.

    "Lo que nos motivó a empezar fue el crecimiento que vimos en el negocio. Hoy estamos vendiendo en Tierra del Fuego y queremos llegar a Buenos Aires", destacó Alberto Cichero, socio fundador de la empresa.


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    La apuesta por los negocios artesanales

    Cerveza Kunstman

    Fuente: INVERTIA

    Esta empresa tiene sus orígenes en el año 1991 cuando Armin Kunstman , hoy presidente ejecutivo de la empresa, se instala con un taller a un costado de su casa a producir cerveza artesanalmente, cosa que ya venía haciendo por años como hobby en su cocina. Su idea fue comenzar a producir para el consumo local y cuando la demanda comenzó a crecer se vio en la necesidad de dejar su puesto de gerente de Collico para dedicarse a tiempo completo en esta nueva empresa. "Siempre pensé que esto podía crecer pero nunca que alcanzaría las dimensiones actuales" afirmó el profesional.

    El año 1997 cuando trabajaba a full time en esta empresa y ya no era capaz de satisfacer la demanda desde el garage de su casa formó una Sociedad Anónima junto a su padre y dos tíos, la que aportó dos millones de dólares, con el capital reunido construyó la planta industrial en la cual actualmente se encuentran operando.

    Armin Kunstman define su empresa como "una microcervecera de carácter familiar que produce cervezas de tipo premiun especiales, si bien la producción es industrial, estamos muy lejos de las plantas grandes de las otras empresas".

    Hoy la distribución y venta de la cerveza es en gran parte del territorio, "nos la hace CCU con quien somos socios desde el 2001, en la parte centro-norte del país, la parte sur y las exportaciones las hacemos directamente nosotros. Su producción anual es de 3 millones de litros.

    "El proceso de expansión fue siguiendo a la demanda, la que básicamente fue creciendo sola, nosotros no hicimos marketing masivo. Un elemento importante que nos ayudó fue el restauran, la tienda de souvenirs y todas la visitas que tenemos por estos conceptos", sostuvo.

    Tras ser consultado si tributariamente existía algún tipo de facilidades a empresas de carácter artesanal Kunstman afirmó que "como empresa artesanal trabajó en las mismas condiciones tributarias que funciona actualmente".

    Según su dueño la clave del éxito del producto es la preparación que se ciñe estrictamente a "una receta alemana de 1516 que habla que la cerveza hay que hacerla con cuatro ingredientes básicos: el agua, la cebada, el lúpulo y el fermento, sin usar ingredientes químicos".

    Sus ventas anuales ascienden a los 4 millones de dólares anuales y la infraestructura actual nos les permite aumentar su capacidad de producción, por eso que existen planes de expansión.


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    Cerveza. El presidente de Bavaria, Ricardo Obregón, habla de la expansión de la compañía en Latinoamérica

    “Vamos a estar entre los más grandes del mundo”

    Enero 25 de 2004

    “Expandirnos es la mejor forma de sobrevivir”, asegura Ricardo Obregón Trujillo, presidente de Bavaria.

    Elena Arismendy / El Pais

    “En esta región del mundo sólo van a quedar dos grupos cerveceros y queremos ser uno de ellos”, dice el ejecutivo. “La economía colombiana debe crecer más”. Además de construir la planta de Yumbo, este año se duplicará la producción de la planta de pulpa de fruta en Tuluá.

    Si algo debe tener claro el gerente de una compañía mo-derna es que aquello que los economistas llaman ley del mercado es, simplemente, una sofisticación de lo que los antiguos cazadores llamaban ‘ley de la selva’: sólo sobrevive el más fuerte.

    Ricardo Obregón Trujillo, el hombre que lleva las riendas del Grupo Empresarial Bavaria, ha hecho de ese principio uno de los faros de su gestión al frente de la segunda mayor compañía cervecera de Suramérica.

    Por eso defiende a capa y espada el acelerado proceso de expansión que Bavaria ha desarrollado en Latinoamérica durante el último año y medio, y que la llevó esta semana a realizar una nueva jugada: la compra del 49% de Ecsa, compañía embotelladora de Pepsi en Costa Rica.

    A juicio de Obregón Trujillo esta es la única estrategia capaz de garantizarle a Bavaria la supervivencia en una arena en la que cada vez habrá menos luchadores. De hecho, dice, en un futuro no muy lejano sólo quedarán dos grandes grupos cerveceros en toda Latinoamérica, “y nosotros planeamos ser uno de ellos”.

    El presidente de Bavaria, quien esta semana puso en marcha la construcción de una nueva planta cervecera en Yumbo, habló con El Pais.

    ¿A qué le apuesta Bavaria con esa política de adquisiciones en Latinoamérica?

    Queremos convertirnos en uno de los cinco grupos cerveceros más grandes del mundo.

    Eso significa, aparte de la cifra, que Bavaria sea una empresa menos vulnerable en el mercado. Además, esa sería la mayor garantía de supervivencia.

    Por eso hemos querido ampliarnos inicialmente en la región y nos hemos modernizado para ser ejemplo en los países donde tenemos presencia.

    ¿Se puede pensar que esa expansión ya terminó?

    Estamos en ese proceso, aunque nos satisface lo que tenemos ahora. Creemos que las adquisiciones que ha hecho la compañía han avanzado con paso firme y no vamos a parar hasta alcanzar una etapa de consolidación.

    ¿Qué le falta al Grupo Bavaria para estar entre las cerveceras más grandes del mundo?

    Muy poquito. Diría que el objetivo es crecer más rápidamente que nuestros cercanos competidores. El año pasado, por ejemplo, crecimos en Colombia 5,9%, que es una cifra difícil de alcanzar en otros mercados.

    Tenemos un gran potencial, no solamente demográfico, sino también porque el consumo per cápita en estos países es muy bajo, lo que nos permite creer que podemos crecer más rápido que la competencia.

    ¿Y en Latinoamérica hay suficiente mercado para tantos copmpetidores?

    Nosotros tenemos la teoría de que en Latinoamérica deben sobrevivir dos grupos cerveceros, porque eso es lo que se ha observado en otras regiones del mundo. Y nosotros le estamos apostando a ser uno de ellos.

    ¿La negociación de Costa Rica implica una mayor participación en el negocio de las gaseosas?

    El Grupo Empresarial Bavaria tiene presencia en Colombia, Perú, Ecuador, Panamá, Bolivia, Chile y Costa Rica, países en los que participa en diferentes mercados de bebidas.

    En ese proceso estamos. En Panamá, en Perú y en Bolivia tenemos una actividad fuerte, aunque también la tenemos en el segmento de los refrescos.

    En Colombia hemos querido seguir impulsando las categorías de agua, jugos y malta. En Panamá recientemente introducimos el Agua Brisa y próximamente vamos a incorporar los jugos; además, acabamos de lanzar una nueva marca de agua en Ecuador, que se llama Manantial. Consideramos que uno de los grandes patrimonios de Bavaria es el valor de las marcas, y en la medida en que las podamos llevar a otros lugares del mundo se harán más fuertes.

    ¿En Colombia el mercado ha repuntado?

    Desde hace dos años hemos cambiado la tendencia que venía presentándose en materia de niveles de consumo per cápita, los cuales cada vez eran más bajos. En 2001, por ejemplo, llegamos a un consumo per cápita de 29 litros de cerveza por año y ahora estamos en 35 litros.

    ¿La competencia de otros licores como los cocteles, el aguardiente y el whisky no le ha quitado mercado a Bavaria ?

    Seguramente algunas de esas categorías han crecido y otras han decrecido, pero lo cierto es que la de la cerveza ha aumentado. Sin embargo, creo que hay espacio para todos.

    ¿La construcción de la planta de Yumbo es el inicio de un proceso de expansión en el país?

    Este año nuestro primer objetivo se centra en consolidar todas las adquisiciones que hemos hecho, transferir las mejores prácticas y homologar proceso, eso es un trabajo arduo y largo.

    En la década de los noventa invertimos US$95 millones y esa inversión la hemos superado en los dos últimos años.

    En esta vigencia estamos haciendo una inversión de US$57 millones, que destinaremos a la construcción de la cervecera de Yumbo, al aumento de la producción en la planta de pulpa de fruta de Tuluá (que se duplicará) y el mejoramiento de las factorías de Bucaramanga, Cervunión, Aguila y Leona.

    Si queremos dar ejemplo como una multinacional eficiente, primero tenemos que ser muy eficientes en el país.

    “Perdimos siete años”

    El ritmo de crecimiento de la economía colombiana se estancó en los últimos siete años, dice Ricardo Obregón trujillo.

    ¿Los mayores impuestos que se empezaron a cobrar este año en Colombia no pueden afectar la expansión de Bavaria?

    Pienso que los colombianos han sido conscientes de que el país ha atravesado por innumerables dificultades y pacientemente hemos aceptado las reformas, aunque no es lo que uno añora.

    ¿No le preocupa que se evecine otra reforma tributaria?

    No me atrevería a juzgarla hasta que se conozca su planteamiento, pero lo que se ha comentado es que se implementaría un estatuto tributario que definiría unas reglas de juego más claras, que se traduciría en el comienzo de una estabilidad fiscal.

    ¿Que le preocupa de la evolución económica del país?

    Nosotros hemos perdido siete años de nuestra historia, mientras que muchos otros países — que son competidores nuestros — han crecido.

    Creo que Colombia debe retomar la senda de crecimiento que tuvimos en la década de los 80, con niveles superiores al 5%, porque esa es la única forma para descontar la ventaja que nos han tomado otros países.

    Colombia debe esforzarse por mejorar su calificación ante las agencias internacionales, y para ello deberá reportar un crecimiento importante. En tal sentido tendrá que recurrir a fondos externos para tratar de lograrlo, porque el ahorro interno es insuficiente para que el país se desarrolle .


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    COLOMBIA - CREDITOS

    Bavaria recibe nuevo crédito de 150 millones de la CAF y ABM AMRO

    Sábado, 31 de Enero de 2004, 12h57

    Fuente: EFE

    Bogotá, 31 ene (EFECOM).- El Grupo Empresarial colombiano Bavaria (GEB) anunció hoy el cierre de un crédito por 150 millones de dólares con la Corporación Andina de Fomento (CAF) y el ABM AMRO, que invertirá la cervecera en Colombia, Perú, Ecuador y Panamá.

    El crédito fue estructurado bajo el Programa de Préstamos A/B de la CAF, en él que la corporación participa con el 25 por ciento, 37,5 millones de dólares, y un grupo de bancos liderados por el ABM AMRO el otro 75 por ciento, es decir los restantes 112,5 millones.

    La deuda se pagará en siete plazos semestrales, a partir de enero de 2006, señaló la compañía en un comunicado.

    Es la segunda operación de ese tipo de que realiza la CAF con el GEB.

    En la primera la corporación prestó a esa compañía 250 millones de dólares, con la participación de varios bancos internacionales, de los cuales adeuda aún 100 millones.

    El vicepresidente financiero de la empresa, Mauricio Restrepo, señaló que "la financiación mejora nuestra estructura de capital, ampliando nuestra capacidad de endeudamiento promedio" y refleja la confianza de la CAF, y de un grupo de bancos liderados por el ABN AMRO en la empresa y en el programa de inversión en la región andina.

    Bavaria es la mayor compañía de cerveza en Colombia y la segunda productora de esa bebida en América del Sur, con inversiones mayoritarias en la principales cerveceras de Perú, Ecuador, y Panamá. EFECOM amv/bg/--


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    La Constancia lanzó una nueva marca de cerveza para el mercado en el 2003

    Economia/Negocios

    Venta de cerveza crece 3 por ciento

    La venta de cerveza en El Salvador y Honduras creció en el 2003, según cifras de Sab-Miller.

    09:00 AM CST 26 Jan 2004 (15:00 GMT)

    San Salvador

    Redacción Economía

    os cambios que se dieron el año pasado en el ámbito cervecero nacional, surtieron efecto; las ventas de cerveza en El Salvador y Honduras crecieron 3 por ciento hasta el 31 de diciembre del 2003, según los estados financieros de SAB- Miller .

    South African Breweries ,SABMiller , es la propietaria del 65 por ciento de Industria La Constancia y del 98 por Ciento de Cervecería Hondureña, desde noviembre de 2001. La cervecera sudafricana r presenta sus estados financieros cada trimestre, y su año fiscal lo cierra cada marzo, por lo que las cifras se refieren a las ventas de abril a diciembre del 2003.

    Los cambios del 2003

    El 2003 fue un año de cambios para la cerveza salvadoreña. La Constancia, lanzó al mercado una nueva marca, Bahía con la cual espera conquistar a un mercado más joven; además, renovó sus marcas, como Golden Light, la cual se transformó con una imagen más fresca; mientras la marca insignia, Pilsener , cambio de “ look ” y de tamaño; la tradicional Regia no se quedó atrás, ahora luce una nueva botella y una imagen más moderna.

    La Constancia, que es la única productora de cerveza en el país, invirtió 10 millones de dólares para mejorar su planta, en fin la apuesta de la industria fue la cerveza.

    Según publica SABMiller en su página web, ellos siguen trabajando “en la estimulación del crecimiento en el consumo de cerveza”.

    Competencia cerca

    Mientras del otro lado de la frontera, (en Guatemala) Cervecería Río, se prepara para hacer este año su ingreso a El Salvador. El 20 de enero anunció una inversión de 10 millones de dólares, para ampliar su planta, y se alista para llevar su marca, Brahva , en primer lugar a Nicaragua, para traerla a El Salvador, en el segundo semestre del año. Río, nació de una alianza entre la embotelladora ancla de la gaseosa Pepsi para la región CABCORP y la cuarta cervecera a nivel mundial, la brasileña AMBEV.

    Sodas no despegan

    Mientras las ventas de cerveza crecen las bebidas carbonatas o gaseosas van en leve declive. Las ventas disminuyeron hasta el 31 de diciembre del 2003 un 4 por ciento.

    En informes anteriores SABMiller había indicado que la competencia en el mercado era muy fuerte. Diario El Mundo quiso obtener reacción de la Constancia pero fue imposible.

    Cambios en mercado C.A.

    El mercado cervecero no se queda quieto, y últimamente la región ha estado muy cotizada por las transnacionales. La última transacción se dio la semana pasada en Costa Rica, cuando la colombiana Bavaria , compró el 49 por ciento de la Embotelladora Centroamericana ECSA.

    Bavaria , la cuarta cervecera de América Latina y compañía matriz del Grupo Empresarial del mismo nombre que controla los mercados cerveceros de Panamá, Perú, Ecuador y Colombia.

    ECSA estaba siendo disputada también por la brasileña AMBEV, que se ha propuesta entrar de lleno a la región, donde están presentes los grandes como Heineken (Costa Rica, Panamá y Nicaragua) y SabMiller (El Salvador y Honduras).


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    Aumenta Modelo precios

    Grupo Modelo tiene en México el 57 por ciento del mercado nacional en la venta de cerveza

    Por Gabriel Suárez

    Mural

    Guadalajara (27 enero 2004).- Grupo Modelo subió entre un 4 y 6 por ciento los precios de sus cervezas, según la marca, la presentación y las zonas geográficas del país.

    En Guadalajara, el incremento en el precio alcanzó a todas las marcas y presentaciones que la Cervecería Corona fabrica y distribuye en la zona metropolitana.

    Por vez primera, el precio de la cerveza Pacífico que se elabora en Sinaloa y se distribuye en Jalisco tiene el mismo precio al público que tienen las cervezas Corona y Estrella que se fabrican aquí.

    Todavía el año pasado el cartón de 20 cervezas de Corona o de Estrella costaba 93 pesos, mientras que el de Pacífico costaba 95 pesos, ahora cualquier cartón de cerveza mediana cuesta 99 pesos a negocios establecidos.

    José Parés, director de comunicación de la compañía, indicó que este incremento responde a un ajuste de precios de acuerdo a los niveles inflacionarios que mostró la economía mexicana el pasado año.

    Sin embargo, el incremento en el precio de la cerveza señalado para la zona metropolitana de Guadalajara fue por mucho mayor al de la inflación en el país.

    De acuerdo con cifras del Banco Central, al cierre del 2003 la inflación en México fue de 3.96 por ciento; sin embargo, al incremento en la caja de 24 cervezas de Modelo de bote 5.95 por ciento y de cerveza tamaño Familiar de 5.47 por ciento.

    Estos nuevos precios vienen luego de dos años en que la compañía no realizó incrementos y mantuvo sus mismos precios.

    Parés aseguró que el incremento haya sido generalizado en todo el país y explicó que se ajustaron según las propias necesidades comerciales en cada región.

    Cabe destacar que el alza en los precios es a la venta hacia negocios establecidos, y son éstos quienes fijan de manera unilateral el precio al menudeo.

    Un cartón de 12 cervezas familiares pasó de 146 pesos a 154 pesos; de Negra Modelo de 79 pesos a 84 pesos, y de Modelo de bote de 168 a 178 pesos, la caja de 24 cervezas.

    Grupo Modelo tiene en México el 57 por ciento del mercado nacional en la venta de cerveza.

    Por su parte, la Cervecería Cuauhtémoc Moctezuma mantiene en el inicio del presente año los mismos precios de venta por tercer año consecutivo.

    El cartón de 20 cervezas medianas, ya sean de la marca Sol o Indio, cuesta 94 pesos a los negocios establecidos.


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    EMPRESAS

    FEMSA ANALIZA AUMENTAR PRECIOS DE CERVEZA

    Viernes, 23 de Enero de 2004, 16h41

    Fuente: Reuters Investor

    MEXICO DF, ene 23 (Reuters) - La mexicana Fomento Económico Mexicana (Femsa) dijo el viernes que analiza aumentar los precios de su cerveza en México, mientras que espera una mejora de la economía, casi estancada en los tres últimos años.

    Una fuente de Femsa, la segunda productora de cerveza en México, atrás de Grupo Modelo, dijo que la decisión de aumentar los precios de sus marcas, que incluyen las populares Dos Equis y Tecate, se tomará después de analizar diferentes variables, entre ellas el desempeño de la economía.

    "Como se espera una mejora económica en el 2004 esto podría ayudar para que se pueda precisar mejor cuándo y cuánto" se aumentarían los precios, dijo la fuente a Reuters, que solicitó el anonimato.

    Estamos "permanentemente monitoreando cómo va el desempeño de la economía en las áreas geográficas y el desempeño del mercado", agregó.

    Las ventas de Cervecería Cuauhtémoc-Moctezuma, operada por la unidad de Femsa, Femsa Cerveza, crecieron 0.7 por ciento de enero a septiembre del 2003 a 16,121 millones de pesos.

    Femsa y Modelo vendieron en el 2002 unos 50 millones de hectolitros de cerveza, en un país que es el séptimo mercado mundial en ese segmento.

    En medio de un estancamiento económico que ha durado casi tres años y de altas tasas de desempleo, las cerveceras han visto limitados crecimientos en sus volúmenes de ventas.

    Según estimaciones de analistas, las ventas de cerveza habrían crecido menos de 3 por ciento en el 2003 y las firmas han tenido que congelar sus precios durante dos años, mientras que sus costos de operación han subido, y caído sus utilidades.

    El congelamiento de precios es lo que ha permitido tanto a Modelo como Femsa registrar modestos aumentos en sus ventas, según especialistas.


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    Modelo subiría volúmenes ventas 2-3% en 2004

    Modelo, el mayor grupo cervecero de México, prevé un crecimiento de 2 a 3 por ciento en sus volúmenes de ventas locales en el 2004, en línea con la esperada expansión de la economía mexicana, dijo el jueves Credit Suisse First Boston (CSFB).

    "Modelo dio una estimación de 2-3 por ciento para el crecimiento de sus volúmenes en el 2004, en línea con (el crecimiento esperado) del Producto Interno Bruto (PIB)" para el 2004, dijo CSFB en un reporte después de una reunión con el director de Finanzas de Modelo, Ernesto Alcaide.

    En medio de un estancamiento económico que ha durado casi tres años y de altas tasas de desempleo, las cerveceras del país han visto limitados crecimientos en sus volúmenes de ventas.

    El gobierno mexicano espera que el PIB se expanda 3.1 por ciento en el 2004, frente al 1.2 por ciento habría crecido en el 2003, de la mano de una recuperación de la economía de Estados Unidos.

    Una economía más sana en Estados Unidos, que compra 85 por ciento de las exportaciones mexicanas, significa que remolcará a las industrias de México, apuntalando el empleo y el consumo.

    CSFB dijo que este año Modelo invertiría 350 millones de dólares (capex) para ampliar una planta que aumentará en el 2005 en 9 millones de hectolitros (hl) la actual capacidad de producción de la firma, de 51 millones de hl.

    Según el reporte, Modelo mejoraría su rentabilidad, resultado de un incremento de precios en Estados Unidos y México vigente desde el 1 de enero y de mejoras en su sistema de distribución.

    Modelo, que exporta cinco marcas de cerveza a 150 países, congeló los precios de sus cervezas durante casi 24 meses, lo que le ha permitido mantener estables sus volúmenes de ventas.

    Las ventas de Modelo, 50 por ciento propiedad de la estadounidense Anheuser-Busch Co. Inc., de enero a septiembre del 2003 ascendieron a 29,585 millones de pesos, 7.8 por ciento más que en el mismo lapso del 2002.

    Las ventas de Modelo en el extranjero, de las cuales casi 90 por ciento son en Estados Unidos, representan cerca de 30 por ciento de los ingresos de la cervecera. (Reuters)


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    Crecen las minicervecerías en Perú, a pocos meses de gran batalla cervecera

    12:46 P.M., 29 Enero 2004

    LIMA, Ene 29 (AFP) - A pocos meses de que se inicie la batalla por el mercado de la cerveza en Perú entre Backus y la poderosa brasileña AmBev, un grupo de empresarios, en forma silenciosa, está instalando minicervecerías, produciendo su propia cerveza de varios sabores, y ganando espacio.

    Los pequeños empresarios elaboran su cerveza en espacios reducidos y la venden directamente al consumidor a un precio bastante competitivo, alejados de la expectativa por la gran batalla de la espuma a iniciarse a mediados de este año cuando la planta de la AmBev esté concluida en Perú y produciendo cerveza.

    Según los expertos la batalla cervecera se dará en varios frentes, pero los precios y el sector consumo serán los más duros.

    Para ello AmBev -primera en Latinoamérica y quinta en el mundo- tiene trazada su estrategia de vender a menor precio. "No interesa perder al comienzo cuando al final ganas", dijo al AFP un responsable de la firma brasileña que pidió reserva de identidad.

    Con un precio más bajo el objetivo es ganar los niveles económicos medios y bajos, donde la Backus, cuyo mayor accionista es la colombiana Bavaria, es líder en el mercado peruano con sus marcas Cristal, Pilsen Callao y Cusqueña, agregó.

    Además, la otra estrategia de AmBev apunta a elevar el consumo de cerveza en Perú, que con 22 litros por habitante en el año 2003, es uno de los más bajos de la región. En el 2002 fue de 21,9 litros y en el 2001 alcanzó los 19,7 litros per cápita.

    En Venezuela cada ciudadano consume 70 litros al año, Colombia 55 litros, Brasil, México y Argentina alcanzan los 40 litros, Chile llega a los 25 litros, según datos de la Unión Cevercera Peruana Backus.

    En medio de estos planes y una millonaria inversión en publicidad, comienzan a crecer en forma silenciosa las minicervercería tratando de ganar espacios con buenos precios y cerveza de diferentes sabores que las poderosas no pueden ofrecer.

    "Un industrial no hace cerveza que más le gusta, sino la de mayor rentabilidad mientras el productor microcervecero elabora su producto para disfrutarla, para ser apreciada por sus clientes", dijo a la AFP el ingeniero Jorge Loo, que junto a su socio Darío Agama han creado el mercado de construcción de minicervecerías.

    De abril a diciembre del 2003 han instalado 15 plantas que producen cada una de 100 a 120 litros al día. Cada minifábrica cuesta 13.000 dólares, señaló Agama.

    Explicó que una industria cervecera gasta más del 50% del precio de la cerveza en publicidad, promoción y distribución, en cambio con una mini se economizan esos gastos y se vende directamente y a menor precio.

    La técnica de Loo permite al comprador instalar él mismo la miniplanta en pequeños espacios (cochera o jardines) como si fuera un rompecabezas.

    "Nosotros damos clases para que se puedan instalar sin mayor ayuda, se les explica cómo elaborar la cerveza de diferentes sabores", dijo el ingeniero tras indicar que una minifábrica adquirida en el extranjero, incluyendo el servicio de instalación, cuesta unos 100.000 dólares.

    El empresario Pedro Pérez, quien tiene una pequeña planta adquirida en el extranjero, encontró un tremendo negocio en ese campo. Llegó a un acuerdo con tres famosas cantantes populares que lideran el ránking del folclore peruano para poner sus fotos en las etiquetas de las botellas de cerveza.

    Este acuerdo le está dando enormes ganancias, pues las botellas de cerveza se venden a más de un dólar en los eventos donde acuden miles de fanáticos para escuchar a estas populares artistas.


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    MERCADOS / En 2003 se tomaron 1,5 millardos de litros

    Consumo nacional de cerveza es el más alto de la región

    En 2001 y 2002 el consumo fue de dos millardos anuales de litros

    Este año crecerá en 1,75 millardos de litros la ingesta de birras en el país

    EDUARDO CAMEL ANDERSON

    EL UNIVERSAL

    Cervecero casi por naturaleza, el venezolano mantiene el mayor consumo per cápita de Latinoamérica de esta espirituosa bebida: casi 70 litros anuales, en promedio, una posición ventajosa contra los menos de 50 litros que al año consumen los mexicanos o brasileños, quienes constituyen dos de los mercados de consumo más destacados de esta región.

    En Venezuela, durante 2001 y 2002, se consumieron unos dos millardos de litros en doce meses. Polar, líder de la parranda, tenía 65% de participación, seguida de Brahma, y Regional.

    Pero este mercado, como tantos otros, cayó el año pasado, a causa de un mes menos de ventas (el enero del paro) y la sostenida caída del poder adquisitivo venezolano. El consumo fue, al cierre de 2003, de unos 1,5 millardos de litros.

    Oro líquido

    Previsiones de voceros de Polar indican que este año el desempeño será ligeramente mejor. Aunque no se igualarán los registros de 2001 y 2002, en diciembre se habrá contabilizado unos 1,75 millardos de litros ingeridos.

    Se estima que la cerveza venezolana tiene el precio más competitivo entre los países de la región, razón por la cual sigue siendo de las bebidas más buscadas y, contrariamente a lo que muchos piensan, dominan 75% del mercado, porción de la cual 25% representan los productos light.

    Polar insistió ante El Universal que ha mantenido su participación prácticamente incólume en los últimos años, aunque introduciendo importantes variantes en su oferta, como la diversificación de la cartera de productos.

    El consumidor lugareño es positivo ante los cambios. Al venezolano le encanta una botella innovadora, una etiqueta bonita, las promociones y, además, todo lo que tiene que ver con el disfrute.

    De allí que las suaves, y su derivación light, hayan tomado pocos años para desbancar a las pilsen clásicas, que hoy en día se consumen, pero en muy baja medida.

    Y como el mercado fue evolucionando, ahora hay un segmento premium, el cual no tenía cerveza light. Es allí donde Polar puso el ojo, para lanzar la versión ligera de Solera, su producto estrella, en botella azul, etiqueta plateada y capuchón, algo así como una botellita de champaña azulada.

    Las light comenzaron en Venezuela en el año 97 para ese segmento joven suave, que buscaba un sabor menos amargo del ya conocido.

    ¡Salud!

    Con este lanzamiento, la marca busca atacar consumidores de los estratos a, b y c, hombres y mujeres, de 18 a 35 años, pero especialmente aquellos de 25 a 35 años, que se preocupan por su salud y que gustan de acceder a productos "aspiracionales".

    La botella se hizo azul por un motivo de estética. Es la única en la región que tiene ese color. ¿Cuál es la meta? Acaparar 24% de cervezas de empaque no retornables, segmento que a su vez representa 10% del mercado nacional (el resto son de gavera, que es 30% más barata en sus precios al detal).

    De las no retornables, 70% son botellas y el restante latas. Como suele hacerse con los lanzamientos, en una primera etapa el producto se estará mercadeando en la región capital y hacia la central.

    Para las primeras actividades, la compañía dirigió 40% del presupuesto de la marca. 5% de ese dinero se fueron al ajuste de producción en planta, 18% hacia los anuncios en medios y el resto a captar consumidores y ejercitar la fuerza de venta de la ocasión.

    ecamel@eluniversal.com


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    Estrategia y Negocios

    Polar adopta la franquicia en nuevo modelo de distribución

    Juan Ruiz, directivo de la cervecera, indicó que las 2.000 pequeñas empresas que hoy reparten los productos del Oso tendrán prioridad para convertirse en franquiciadas

    NORBERTO J. MÉNDEZ

    Foto WILLIAM DUMONT

    Ruiz: Es necesario evolucionar en la atención del cliente, sin sacrificar ninguna de las ventajas que hemos desarrollado

    La red de distribución de Cervecería Polar, que hasta el momento se mantenía con la figura de pequeñas empresas contratadas para tal fin y que atiende a 150 mil puntos, tomará el modelo de franquicia.

    Representantes de la compañía del Oso explicaron que en una primera etapa tendrán prioridad las 2.000 PYME que actualmente reparten las lupulosas.

    El modelo se denomina Red de Franquicias de Distribución Polar.

    Los franquiciados tienen el derecho de suplir con los productos de la cervecera los puntos de venta en áreas geográficas determinadas, además de tener acceso a las prácticas desarrolladas por Polar que optimicen la operación.

    Juan Ruiz, director de la Unidad Estratégica de Negocios de Cerveza y Malta, afirmó que se trata de un nuevo capítulo en la historia de la red de distribución de Polar, un elemento que “ha sido uno de los impulsores del éxito de la compañía”.

    El vocero explicó que la modificación responde a la evolución del mercado nacional en los últimos tres años. En el caso de los consumidores destacó la importancia que han ganado las cervezas suaves y que se refleja en que hoy 75% de las espumosas se envasa en botellas transparentes. Asimismo, se requiere una atención diferenciada según el tipo de cliente.

    “Es necesario evolucionar en la atención del cliente, sin sacrificar ninguna de las ventajas que hemos desarrollado. Por eso hemos diseñado este modelo”, indicó Ruiz.

    Si bien el grueso de la distribución se realizará mediante el sistema franquiciado, la compañía mantendrá la atención directa para clientes específicos.

    Consultado si la decisión de otorgar franquicias para la distribución está relacionada con los problemas legales que se suscitaron entre Polar y un grupo de ex distribuidoras, Ruiz explicó que “eso fue un inspirador para ofrecer a las compañías este modelo de distribución”.

    Figura en auge

    La franquicia, y la apuesta de Cervecería Polar lo corrobora, es una de las actividades comerciales más en boga en la actualidad.

    Cifras reveladas en la rueda de prensa refieren que en Venezuela producen más de 240.000 puestos de trabajo y que existen 1.800 unidades operando, lo que genera 0,5% del producto interno bruto no petrolero.

    Rolando Seijas, ex presidente de Profranquicias y asesor de Polar en este tema, expuso que las características del negocio de la cervecera –una marca reconocida, la estandarización de los secretos comerciales y la posibilidad de repetirse– hicieron posible la conversión en una franquicia de distribución, modalidad que tiene precedentes en Francia y en México.

    “Se han logrado estándares internacionales, es muy pensada y adaptada a los intereses de los consumidores”, dijo.

    María Isabel Guinand, directora nacional de Ventas y Distribución de Polar, expresó que se trabajará con el concepto de exclusividad recíproca, es decir, la franquiciante cederá el derecho para vender en un área específica y el franquiciado se compromete a distribuir sólo productos de la Polar.

    También se garantiza una rentabilidad atractiva para los franquiciados –se calcula en 18 meses el retorno de la inversión–, el acceso a financiamiento para operar el negocio y asistencia a programas de formación de las técnicas comerciales desarrolladas por Polar.

    El precio de entrada para el negocio varía según las características de la ruta asignada, pero tiene un promedio de 16 millones de bolívares. El interesado debe operar bajo la forma de compañía anónima o sociedad responsable limitada –no se admiten cooperativas u otras figuras–, contar con activos como un camión y tener debidamente registrados a sus empleados.

    Las pequeñas empresas que actualmente forman parte de la fuerza de distribución de Polar no tendrán que pagar montos adicionales.

    Los interesados recibirán un adiestramiento de seis meses.

    No sólo habrá estandarización de procesos de venta del producto sino también de imagen. Los camiones, uniformes, identificaciones y facturas de las franquiciadas podrán usar los logos de la Red de Distribución Polar.

    © 2004. CA Editora El Nacional.

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    Identificado Gen que podría explicar la dependencia del alcohol

    Un grupo de investigadores de la Escuela de Medicina de la Universidad de Washington (St. Louis, U.S.A.) y de otros centros ha identificado un gen que parece incrementar el riesgo de alcoholismo.

    El estudio, publicado en la edición de enero de la revista “Alcoholism: Clinical and Experimental Research”, es el primero en demostrar una asociación entre este gen en particular y la dependencia del alcohol. Los investigadores analizaron el ADN de un total de 2.282 sujetos y aislaron tres genes del cromosoma 15 que se encuentran muy próximos en este cromosoma. Se encontró que uno de estos genes parece influir en el riesgo de dependencia del alcohol, pero no se sabe cómo.

    El hallazgo de que ese gen estaría involucrado en el abuso con el alcohol y la dependencia apoya la teoría actual de que la predisposición al alcoholismo podría ser heredada. Las personas en riesgo de alcoholismo pueden heredar una variedad de genes que contribuyan a esto.

    Una interpretación es que tal vez el alcohol normalice el estado de excitabilidad del cerebro y esto conduzca a personas con un sistema nervioso hiperexcitado a utilizar el alcohol más frecuentemente con el fin de normalizar los circuitos cerebrales, esto podría colocarlos en un nivel de riesgo mayor de desarrollar dependencia del alcohol.

    La Dra. Dick señala que es importante recalcar que el código genético no necesariamente significa que una persona está condenada a convertirse en alcohólico. Y, adicionalmente, que la dificultad de encontrar genes involucrados en los desórdenes psiquiátricos está en que existe interacción entre los factores genéticos y los ambientales.

    Dick DM, Edenberg HJ, Xuei X, Goate A, Kuperman S, Schuckit M, Crowe R, Smith TL, Porjexa B, Begleiter H, Foroud T. Association of GABRG3 with alcohol dependence. Alcoholism: Clinical & Experimental Research, vol. 28:1, pp. 2042-2047, January 2004

    Gerardo Tálamo, Ph. D.


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    Compran 21% de cervecera china

    HONG KONG, China (Reuters). —Heineken dijo el miércoles que su unidad de Asia tomará una participación de 21% en la cervecera china Guangdong Brewery Holdings, en una inversión calculada en 57 millones de euros (unos 71 millones de dólares).

    La participación de Heineken en la inversión es de 28.5 millones de euros y la transacción, que se realizará con recursos existentes en caja, aumentará las ganancias, comunicó la empresa.

    La inversión de Heineken Asia Pacific Breweries China es la más reciente de una oleada de acuerdos por parte de cerveceras extranjeras que buscan una porción del mercado de las cervezas de China, el mayor del mundo en volumen, con un crecimiento de alrededor del 5% por año.

    Heineken, tercera mayor cervecera del mundo, dijo recientemente que comenzará a hacer su marca de cerveza en China a través de Asia Pacific Breweries en Singapur, empresa donde tiene el 42.5% de participación, y que elabora la cerveza Tiger.

    Heineken y su socio en Asia Pacific Breweries formaron recientemente Heineken Asia Pacific Breweries China, una combinación donde la holandesa posee el 46.1% y Fraser & Neave tiene el 43.9%.

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